Mode d’intervention

  • Présentation globale
  • Mode d’intervention
  • Allergies et pathologies
  • Méthode NAET

  • Deux niveaux d’intervention :

    soit à l’entrée

    soit à la sortie.

    - à l’entrée : Traditionnellement, les Chinois disent que l’assiette est la première aiguille de l’acupuncteur.

    En homme moderne, nous pourrions dire que malgré les réglages parfaits du "mécano", si l’on ne lui fournit pas le bon carburant, la voiture ne marchera jamais bien.

    Selon la tradition Chinoise, l’homme établi un lien entre le ciel et la terre. Le ciel correspond aux influences cosmiques, la plus importante étant la succession des saisons. La terre correspond à toutes les influences telluriques, la plus importante étant la nourriture, produite par la terre.
    (inclure dessin homme ciel terre à droite)
    Pour que l’homme soit en bonne santé, ce lien doit être harmonieux.

    A l’arrivée des aliments, l’aiguillage" qui décide à qui va être attribué l’énergie résultant de la transformation d’un aliment est sa saveur.

    Chaque organe est en rapport avec une saveur, c’est par elle qu’il reçoit son énergie. Et contrairement à ce que l’on imagine, plus il reçoit d’énergie, moins il travaille.

    Le seul moyen radical d’optimiser le fonctionnement du corps, d’équilibrer les énergies de chaque élément, de les mettre en harmonie avec la saison, est de jouer sur les rythmes d’absorbtion des différentes saveurs en fonction des saisons et de proscrire momentanément la consommation d’aliments de la ou des saveurs en excès pour les réintroduire ensuite au rythme qui convient.

    Cette méthode, efficace le plus souvent, permet par le retour à l’harmonie et à l’équilibre, de restaurer rapidement et durablement la santé, le bon fonctionnement du corps.

    Malheureusement dans certains cas, contre toute logique, ça ne marche pas et au lieu d’une amélioration, on obtient une agravation parfois violente et tout à fait incompréhensible.

    La méthode NAET (Nambudripad’s Allergy Elimination Techniques), par l’éclairage nouveau qu’elle apporte, est venue fournir une explication logique et efficace aux echecs évoqués plus haut.
    En effet, il est apparu aux tests que la consommation d’un aliment auquel on est intolérant entraine à chaque fois un excès d’énergie sur l’organe correspondant à saveur.
    Une fois l’intolérance à cet aliment traitée et validée, sa consommation n’entraine plus aucun trouble.

    Schema detaillée des saveurs

    - à la sortie : C’est à dire au niveau de la distribution, puis de la circulation et de l’utilisation de l’énergie dans le corps. Avant d’intervenir, il va falloir se renseigner sur la quantité et la qualité d’énergie reçues par chaque organe qui va être concerné.

    Les informations sont fournies traditionnellement par les pouls :
    pouls radiaux sur l’artère radiale à chaque poignet.
    - pouls périphériques aux localisation spécifiques à chaque organe ou viscère.

    L’ostéopathe dispose d’autres sources d’information pour confirmer et compléter celles des pouls :
    - la mobilité des organes à la palpation en écoute du MRP. L’excès d’énergie amène à la fois une physiologie déficiente et une perte de mobilité. les douleurs vertébrales : chaque vertèbre porte sur ses apophyses transverses, des points correspondant à un viscère ou à sa fonction (points assent ?). L’excès d’énergie sur un organe crée un disfonctionnement de l’organe qui entraine l’accumulation d’une douleur et une perte de mobilité de la vertèbre correspondante. Et s’il est très important, de l’une des côtes voire même de tout le métamère.

    Ces observations, qui doivent être concordantes, vont conduire à un raisonnement qui permettra de déterminer la tactique d’intervention, c’est à dire les points à tonifier ou à disperser.