Méthode NAET

  • Présentation globale
  • Mode d’intervention
  • Allergies et pathologies
  • Méthode NAET

  • Cette méthode se décompose en deux temps :
    - 1 Bilan des allergies.
    - 2 Traitement.

    Bilan :
    Le bilan s’effectue à l’aide de tests. Parmi les nombreux tests envisageables, certains sont d’une sensibilité ou d’une fiabilité douteuse, comme les tests intradermo, par exemple, d’autres sont beaucoup plus fiables et sensibles, bien que ne disposant pas du label "scientifiques".
    Citons en trois, basés sur le même principe :

    - Le test kinésiologique, utilisant les variations de la force d’un groupe musculaire en présence de l’allergène.
    - Le RAC, mis au point par le Dr Nogier en auriculothérapie, qui se sert des variations du poul face au produit à tester.
    - Le test MRP, qui fait appel aux variations du Mouvement Respiratoire Primaire en contact du produit à tester avec le corps du patient.

    Le choix du test se faisant en fonction de l’entrainement et de l’aisance du praticien avec l’un ou l’autre de ceux-ci.

    Traitement :
    Le traitement s’effectue à l’aide de plusieurs séquences de points d’acupuncture travaillés dans les conditions et selon le protocole établi par la méthode NAET.
    Une fois le traitement effectué et validé, l’allergie est définitivement éliminée.

    - à la sortie : C’est à dire au niveau de la distribution, puis de la circulation et de l’utilisation de l’énergie dans le corps. Avant d’intervenir, il va falloir se renseigner sur la quantité et la qualité d’énergie reçues par chaque organe qui va être concerné.

    Les informations sont fournies traditionnellement par les pouls :
    pouls radiaux sur l’artère radiale à chaque poignet.
    - pouls périphériques aux localisation spécifiques à chaque organe ou viscère.

    L’ostéopathe dispose d’autres sources d’information pour confirmer et compléter celles des pouls :
    - la mobilité des organes à la palpation en écoute du MRP. L’excès d’énergie amène à la fois une physiologie déficiente et une perte de mobilité.
    - les douleurs vertébrales : chaque vertèbre porte sur ses apophyses transverses, des points correspondant à un viscère ou à sa fonction (points assent ?). L’excès d’énergie sur un organe crée un disfonctionnement de l’organe qui entraine l’accumulation d’une douleur et une perte de mobilité de la vertèbre correspondante. Et s’il est très important, de l’une des côtes voire même de tout le métamère.

    Ces observations, qui doivent être concordantes, vont conduire à un raisonnement qui permettra de déterminer la tactique d’intervention, c’est à dire les points à tonifier ou à disperser.