Illustration par un épisode personnel :

  • INTRODUCTION 
  • LES BASES DE DEPART :
  • LES OUTILS :
  • LES QUESTIONS QUI SE POSENT :
  • CONCLUSION :

  • Illustration par un épisode personnel :

      Ces patients sont malades de leurs ancêtres, sans le savoir, chose que j'ai découvert sur moi au cours d'une séance d'ARC où le déterminant que le test m'avait amené à choisir pour la séance était un ancêtre masculin, du côté des grand-mères de la lignée maternelle. Dès la fin de la séance je me suis trouvé encombré d'émotions qui ne m'appartenaient pas.
    La psychophanie de cet ancêtre est éloquente et m'a permis de confirmer et de comprendre ce que je ressentais et que j'exprime avant le début de la rencontre, par la première phrase. (Les questions sont exprimées en caractères gras)
    Je suis encombré par de l’obsession.
    Ca tourne et retourne comme une spirale en moi pas d’évacuation possible, amas stagnant, amas de non dits.
    François Lajeunesse,
    Veux-tu communiquer ?
    Perdu, je suis perdu, je pars tout azimuts, c’est la panique à bord, je ne sais pas où aller.
    Je viens communiquer pour nous aider tous les deux, y comprendre quelque chose.
    Ca part dans tous les sens.
    Veux-tu me parler de ta famille, ta femme tes enfants ?
    Pas de souvenir précis, ça n’est pas le problème il me semble, problème dans ma structure (petit garçon).
    Peux-tu  parler de tes parents ?
    Violence, père violent, ravageur, coléreux, explosion de colère à la maison, ma mère et moi nous sommes planqués sous la table.
    J’ai peur, la peur au ventre qu’il porte ses coups, qu’il se déchaine sur l’un de nous.
    Avais-tu des frères et sœurs ?
    Oui (sœur).
    Tu es l’ainé ?
    Oui.
    Ta sœur a subi les mêmes violences que toi ?
    Oui, elle filait doux, il était tout de même plus porté sur moi.
    Tu as subi cela jusque dans l’adolescence ?
    Oui, bien plus encore ; il m’aura terrifié toute ma vie, car cette violence reste là en moi encore.
    Et ta mère ?
    Elle essayait de faire profil bas, de ne pas dire un mot plus haut que l’autre de peur de l’irriter.
    Tu as réussi à quitter la maison assez tôt ?
    Pas sous son emprise, il restait le maître à bord et nous tenez d’une poigne de fer, j’étais l’esclave de la maison.
    Tu as du attendre sa mort pour pouvoir t’en échapper ?
    Oui, il a été omniprésent comme une chape de béton.
    Comment as-tu réussi à te marier ?
    Un accord, c’était un accord, arrangement qu’il a lui-même fait entre nos familles, pour des intérêts communs.
    Comment ça c’est passé avec tes enfants ?
    J’ai cherché à être différent, et puis au bout du compte j’aie été distant.
    Avec ta femme aussi, distant ?
    Oui, nous étions un peu comme des étrangers.
    De quoi aurais-tu besoin pour sortir de cette situation où tu tournes en rond ?
    C’est bien mon problème je ne vois pas d’issue.
    Ce que tu as vécu s’est transmis jusqu’à moi, je le ressens moins violemment mais c’est pour ça que je viens te voir pour essayer de le résoudre. Aux guides de François, comment puis-je l’aider ?
    Trouver un allégement en soi d’abord, nettoyer ces traces de colère/obsession, nettoyer à l’aide de couleurs claires. Ensuite se tourner vers lui et lui envoyer ces mêmes couleurs claires et vives en plein cœur, qu’ils les reçoivent dans son cœur.
    Serait-il intéressant de lui faire un traitement sur les corps énergétiques comme je sais le faire ?
    Pour soi, oui mais pas pour lui, il ne se trouve pas dans les mêmes dimensions, trop risqué.
    Lui envoyer la lumière, puis-je le faire seul ou ai-je besoin d’aide, un  rituel ?
    C’est un rituel, à faire seul après s’être bien baigné soi-même dans la lumière.
    A répéter sur une durée ?
    D’une semaine 7 jours.
    Je remercie les guides et François.
    Merci François, je vais essayer de t’aider.
    J’y compte bien, je te remercie également, c’était inespéré de voir arriver quelqu’un qui puisse me sortir de là.

    Au fur et à mesure que j'effectuais ce rituel, chaque jour je sentais ces émotions baisser en moi, pour disparaître le sixième jour. A la psychophanie suivante pour un autre ancêtre, j'en ai profité pour retourner le voir et savoir ce qu'il en avait tiré. Voici sa réponse :
    François Lajeunesse,
    Comment vas-tu, as-tu tiré un bénéfice de ce que je t’aie envoyé ?
    Mon cœur est plein de joie et de légèreté, merci pour ce sérieux coup de pouce, je suis bien loin, emporté dans une lumière douce.