La Psychophanie :

C'est également Didier Dumas qui m'a fait découvrir la Psychophanie et m'a donné envie de la rajouter à ma panoplie. La Psychophanie, introduite en France par Anne Marguerite Vexiaux, orthophoniste, qui l'appelait au début « un clavier pour tout dire ». Elle l'utilisait pour communiquer avec les autistes, les sourds muets et les nourrissons. Elle se servait d'un clavier, en se laissant guider par le doigt du patient vers les lettres pour former des mots. Cette méthode s'est appelé ensuite « communication facilitée », jusqu'à ce que Didier Dumas s'intéresse à cette méthode et en explore toutes les possibilités qui se sont révélées infinies. Il lui a alors donné un nom : Psychophanie et un cadre d'action et de formation. Cette méthode se pratique à deux, un « facilitant » qui a été formé à ce travail et un « facilité », la personne qui vient interroger ses inconscients par ce moyen. Le facilitant fait cesser son dialogue intérieur et ouvre son esprit à l'inconscient du facilité.
L'interrogation peut porter sur différents niveaux, depuis le point sur sa vie, à ce jour, jusqu'à aller interroger son inconscient sur un ancêtre ou interroger l'ancêtre lui-même. Rappelons que l'enfant, depuis sa conception jusqu'à trois ans est dans un état fusionnel avec sa mère et communique avec ses parents d'inconscient à inconscient, sans l'aide des mots.Par ce biais, il récupère les inconscients des parents, comme eux même à son age et par là tous les inconscients des générations passées.
Par la suite, j'ai découvert que je pouvais donner au patient le moyen d'orienter, de déterminer l'investigation de ses inconscients dans l'ARC en demandant à son corps à l'aide du test MRP, de choisir un déterminant qui sera d'abord lui-même, puis, selon son choix, un organe, une glande endocrine, une hormone. Ces premiers déterminant vont permettre de faire apparaître et d'intervenir sur les problème les plus superficiels mais, immanquablement, apparaitra ensuite comme déterminant une personne vivante : le conjoint, un parent puis les séances vont se centrer sur un des ancêtres, un fantôme familial qui au cours de la séance va amener le patient à se parler des troubles qu'il lui a transmis.

Remarque :

En fait, l'ARC et la Psychophanie, avec des outils différents, font un travail très comparable, avec peut-être plus de précision pour la Psychophanie et une possibilité de traitement, grâce au diapason, beaucoup plus pointue et effective pour l'ARC. Les deux viennent parler au patient de ses inconscients.