Thérapeutiques, dialogues et Mémoires


Une thérapeutique holistique fait nécessairement appel, pour être efficace, à un dialogue avec le patient. Ce peut être un dialogue purement verbal, comme pour les psychothérapies, ou purement corporel, comme pour l’ostéopathie, l’acupuncture, ou à un dialogue mettant en jeu, tour à tour, ou conjointement, les deux modes d’expression, comme pour la plupart des thérapies globalistes.

Le dialogue avec le corps du patient, qui est loin d’être le plus facile à maintenir, est pourtant, sans conteste, le plus riche, le plus productif et celui qui permet d’atteindre les niveaux de communication les plus profonds, les inconscients les plus archaïques. Il livre du patient des informations que lui-même ignore bien souvent, ou qui lui sont dissimulées (inconscient).
La parole du corps peut être le geste, l’attitude, l’action (acte manqué par exemple), la souffrance, la maladie… Ceux-ci ne constituent que des affichages, des signaux que donne le corps, et qu’il faut interpréter, organiser, et hiérarchiser, pour arriver à les comprendre et les exploiter. Dans ce cas, le dialogue est à sens unique, du patient vers le praticien.

L’intervention du praticien, lorsqu’elle devient possible, installe un dialogue beaucoup plus riche et productif. Ce qui la rend possible est la capacité, pour le praticien, de poser des questions au corps du patient, et surtout de comprendre et de savoir utiliser les réponses que celui-ci lui fournit. La communication n’étant pas verbale, ne fait pas appel à l’intellect du patient, et court-circuite donc tout contrôle, censure, interprétation que pourrait faire ce dernier.

La question du praticien doit être clairement formulée mentalement, de façon à appeler une réponse de type binaire (oui non), la plus simple à formuler pour le corps du patient. Comment cette question passe-t-elle de l’intellect du praticien au corps du patient, sans l’aide de la parole ? C’est là où le bât blesse, au regard de la Pensée Cartésienne. En fait, la Pensée Cartésienne est hors circuit dans cette histoire : avant d’être verbe, la pensée est Énergie, et cette énergie circule librement d’un individu à l’autre, mais de manière subtile et peu ou pas perceptible par nos intellects rationnels et restrictifs.

Les animaux ont la chance de ne pas être limités par la raison. Entre eux, l’information circule, riche et nuancée. Celle qu’ils reçoivent de nous aussi. Ils nous perçoivent, et nous connaissent souvent mieux que nous-même. Mais nous, pauvres humains, sommes devenus, pour la plupart, incapables de percevoir l’énergie, de recevoir l’information venant d’autres êtres vivants, humains ou animaux, sans l’aide de la béquille, de l’adjuvent limitant que constitue le test.

Ce test est basé sur l’observation de constantes biologiques du corps humain, et de leurs variations selon la réponse fournie. Les constantes biologiques utilisées sont au nombre de trois :
1. Le rythme cardiaque
2. Le M.R.P. (Mouvement Respiratoire Primaire)
3. La force d’un groupe musculaire et ses variations.
Ces trois constantes biologiques échappent au contrôle de la conscience et de la volonté, ce qui leur permet de traduire fidèlement, et de façon impartiale, les réponses du corps.

1. Le rythme cardiaque est perceptible sur une artère (radiale, fémorale, carotide). Il peut nous fournir deux types d’information :

a . Le R.A.C. ou Réflexe Auriculo Cardiaque est un test mis au point par le Docteur Nogier, le père de l’auriculothérapie, pour repérer dans l’oreille du patient les points en relation avec les troubles dont il se plaint. La stimulation du point faisant disparaître ces troubles. Ce test consiste en une variation brusque d’intensité de la pulsation du poul, en réponse à la question posée.

b . Les Pouls Radiaux : En Énergétique Chinoise ou Tibétaine, à l’aide des pouls des deux artères radiales dont il faut connaître la cartographie (différente pour les chinois et les tibétains), le praticien dispose d’une d’information beaucoup plus complète et précise sur l’état énergétique et le fonctionnement des organes et viscères. Cette clé supplémentaire pour le dialogue avec le corps du patient, particulièrement riche et productive d’informations, nécessite de connaître les bases de l’énergétique, car dans ce cas, l’information n’est plus binaire (oui non) mais beaucoup plus complexe, et basée sur les lois de l’énergétique.

2. Le M.R.P. ou Mouvement Respiratoire Primaire est le résultat d’une contraction-dilatation rythmique et régulière de la névroglie (squelette « souple » du cerveau supportant les neurones et donnant au cerveau sa forme ).

Comme le cœur pompe le sang et le fait circuler dans tout le corps, la névroglie fait circuler le L.C.R. (Liquide Céphalo Rachidien). Le sang transporte l’eau, l’oxygène et le gaz carbonique, le L.C.R. transporte les nutriments, les messages hormonaux et les déchets (le laitier, le facteur, et les poubelles). Dans le même temps par l’intermédiaire de toutes les membranes (Dure –Mère intra-crânienne, Dure Mère intra-spinale, fascias, ligaments, cloisons interosseuses, etc…), cette contraction-dilatation de la névroglie entretient un mouvement de va-et-vient, rythmique et permanent de toutes les parties du corps non soumises à la volonté, (viscères squelette). Certains courants de pensé contestent la réalité de ce mouvement, dans la mesure où il n’a pas encore été démontré « scientifiquement ». Pourtant, son efficacité dans les utilisations que l’on peut en faire semble bien démontrer expérimentalement son existence.

Ce mouvement, qui participe au drainage de tous les liquides du corps (la serpillière qu’on essore) est le premier à apparaître chez l’embryon, et le dernier à disparaître à la mort. Le Mouvement c’est la Vie, le M.R.P. en est une parfaite illustration, une limitation de ce mouvement indique toujours une souffrance, un peu moins de vie pourrait-on dire.

Avec un peu d’entraînement, le praticien peut apprendre à percevoir ce mouvement, invisible, et non perceptible par le patient, en posant sa main, de la façon la plus neutre et discrète possible sur un os long du patient (membre supérieur ou membre inférieur) pour lequel le M.R.P. est : rotation externe – rotation interne.Une limitation du M.P.R. dans un sens ou dans l’autre indique une pathologie articulaire.

Par extension on peut, comme pour le R.A.C. établir mentalement des conventions avec le corps du patient, par exemple : Oui = le mouvement s’arrête. Non = il continue. Autre exemple : pour tester un remède homéopathique : le remède convient au tableau clinique du patient = le mouvement s’amplifie. Le remède ne convient pas = Le M.R.P. s’arrête ; à la bonne dilution, le M.R.P. s’amplifie, à la mauvaise, il s’arrête …etc…

Pour l’homéopathie, comme pour les allergies, si le praticien est constamment centré, le test peut se faire mentalement. En ce cas, la réponse est courte (1 à 3 secondes). Il faut donc, pour bien utiliser le test mental que le praticien soit parfaitement à l’aise avec le test, et qu’il maîtrise constamment la concentration sans effort.

3 . Le test Kinésiologique. Il se sert alors des variations de la force musculaire du patient en réponse aux questions diverses, mais toujours du type binaire que le praticien peut avoir à poser. Ce test, nécessite l’application d’un protocole, assez exigeant et complexe, pour être fiable, et de plus il présente une difficulté certaine d’étalonnage de la force du groupe musculaire choisi. Entre un athlète fier de sa force, et une petite dame fragile et soumise, il ne sera pas toujours aisé de s’y retrouver. Une fois ces paramétrages installés et maîtrisés, ce test est tout à fait fiable et permet un dialogue fécond ave le corps du patient, mis à part le fait que pour l’animal, il est nécessaire de passer par un substitut humain tenant l’animal, et sur qui se fera le test.

Le corps humain est un lieu de mémoires. Pour certaines d’entre elles l’intellect nous permet de les explorer, de les nourrir, et de les développer, mais en général elles sont bien gérées et ne génèrent pas de pathologies trop encombrantes. Par contre, les pathologies récurrentes sont toutes en rapport avec des mémoires peu accessibles spontanément à la conscience. Et plus une matrice mémorielle est profondément enfoncée, refoulée, enkystée, et plus la pathologie est encombrante, incompréhensible, et résistante à tout traitement.

Voyons à présent les différents nivaux de dialogue, avec les thérapeutiques concernées et les mémoires auxquelles elles s’adressent. Initialement l’homme est fait pour vivre longtemps, en bonne santé ; de plus il est équipé, dans ses systèmes interne de régulation, pour rétablir et entretenir spontanément son homéostasie. Celle-ci est le résultat d’un équilibre stable entre tous les organes et les énergies qui les alimentent. Le premier niveau où cet équilibre peut être rompu est le domaine ostéoarticulaire, en rapport avec des causes traumatiques.Lorsqu’une structure ostéoarticulaire subit un traumatisme produit par une force appliquée plus ou moins violemment à cette structure, la pièce osseuse qui reçoit l’impact du traumatisme va être propulsée dans la direction de la force qui en est responsable, entraînant douleur et perte de mobilité. Le vecteur de cette force est le résultat des trois dimensions de notre espace ; haut-bas, gauche-droite, avant- arrière.

L’articulation ou la suture (pour le crâne) qui unit cette pièce à celles qui l’entourent, va installer, mettre en mémoire l’énergie de l’impact dans ses moyens d’union ; capsule articulaire, ligaments, cloisons interosseuse, dure- mère. Cette mise en mémoire s’effectue toujours sur les membranes, élastiques mais lors d’atteinte de la volonté. Elle implique la décomposition et l’enregistrement de cette énergie dans ses trois composantes. Le traumatisme pourra être repéré, sa localisation précisée par l’écoute du M. R. P., et l’observation et l’analyse des pertes de mobilité qu’il va mettre en évidence. Une fois le repérage effectué, le bilan global va permettre de le situer par rapport à l’ensemble des restrictions de mobilité que présente le patient, c’est-à-dire des autres traumatismes plus anciens, mis en mémoire, et de l’ordre dans lequel va pouvoir s’opérer l’effacement des mémoires, autrement dit la libération des structures. La perte de mobilité d‘une structure est la conséquence du verrouillage de ses moyens d’union membraneux par la mise en mémoire de l’énergie cinétique apportée par le traumatisme, la libération de la structure va pouvoir se faire par l’effacement de cette mémoire, en entraînant la structure dans la zone de confort qui lui reste après le traumatisme. Cette zone de confort n’étant pas physiologique, cause des pertes de mobilité ou des douleurs, localement ou à distance, par des mécanismes d’adaptation ou de compensation. Une fois la structure installée dans sa zone de confort par équilibration tridimensionnelle, les mains, à l’écoute, vont suivre le déroulement, la restitution dans ses trois paramètres de l’énergie mise en mémoire au moment du choc. La réapparition du M.R.P. dans cette articulation, signe l’effacement de sa mémoire membraneuse pathologique et la restauration de sa liberté. À ce premier niveau, le dialogue avec le corps du patient à permis de repérer les traumatismes, d’effacer les mémoires articulaires traumatiques, et de vérifier après cela, la restauration de la liberté initiale.

Remarques :
1. L’ordre dans lequel se déroulent les trois paramètres permet de connaître la direction de l’énergie cause du traumatisme, même s’il est très ancien.
2 . Sur une structure articulaire complexe, toutes, les lésions en rapport avec un traumatisme vont afficher la même séquence de déroulement, le même ordre.
3 . L’affichage du M. R.P. à l’équilibrage d’une articulation signifie qu’elle n’est pas affectée par le traumatisme

Le deuxième niveau de perturbation de l’homéostasie, relève de l’énergétique, en rapport avec des causes essentiellement métaboliques. Il concerne le fonctionnement des organes et viscères.

Le corps humain peut être comparé à une usine, qui à partir d’apports extérieurs et internes, va fabriquer de l’énergie, la distribuer aux différents organes, qui vont l’utiliser pour assurer leur fonctionnement :
Les apports internes sont : l’énergie transcendantale------------T
L’énergie génétique-------------G
Les apports extérieurs sont : l’énergie comburante---------------C
L’énergie alimentaire----------A

L’énergie alimentaire est celle qui, étant la plus variable, sera la plus facilement et la plus souvent perturbante. La stabilité de l’homéostasie va dépendre essentiellement de la qualité, de l’équilibre et de la bonne tolérance de l’apport alimentaire.
Au niveau énergétique, le dialogue avec le corps du patient se fera dans un premier temps au moyen des pouls radiaux qui sont au nombre de douze, un par organe ou viscère, et qui vont indiquer pour chacun son niveau énergétique ; lequel est dominant, lequel est dominé, où sont les perturbations.
Les perturbations peuvent se situer aux différents étages de l’usine :

* Réception et transformation des apports extérieurs, et ce serait les trois foyers - trois réchauffeurs qui seront en cause.

* Distribution des énergies, où les merveilleux vaisseaux seront à examiner et à traiter.

* Utilisation des énergies par les organes et viscères ou nous aurons à faire à deux structures :- les cinq éléments qui se rattache à un cycle saisonnier, et les six qualités du ciel que renvoie à un cycle circadien (de 24h).

Les cinq éléments seront en rapport avec des pathologies saisonnières, chroniques alors que les six qualités du ciel vont toujours être en cause dans les pathologies aiguës . ceci rend les pathologies en rapport avec l’utilisation des énergies faciles à repérer et à traiter ; la modification des pouls venant confirmer le bon choix de traitement et les résultats.
En ce qui concerne les Merveilleux Vaisseaux, ou les Foyers et Réchauffeurs, il peut être intéressant, en interrogeant le corps à l’aide du M.R.P. de vérifier la justesse du raisonnement ou des déductions conduisant à les incriminer dans la pathologie.

Les pathologies en rapport avec les cinq éléments sont très souvent provoquées par des intolérances ou allergies alimentaires. Tout aliment mal toléré, lorsqu’il est consommé, met en place un excès d’énergie sur l’organe correspondant à sa saveur.
Les cinq éléments correspondent à cinq couples d’organes viscères, à cinq saveurs, à cinq saisons. Ils sont en équilibre les uns par apport aux autres selon les lois des cinq éléments : Cycle Tcheng, cycle K o et K o inversé.

Lorsqu’un élément est en excès, suite à des allergies, il va devenir dominant, et il perturbe ceux qu’il est censé équilibrer, tout en devenant lui-même déficient dans sa fonction : l’énergie et la physiologie sont en rapport inverse.

À partir du repérage réalisé grâce aux pouls, les allergies vont pouvoir être détectées et évaluées précisément à l’aide du test M.R.P. Il va permettre au corps du patient de nous indiquer ce qu’il ne tolère pas dans son environnement, aliments et autres allergies diverses et variées.

L’allergie est signalée par un arrêt du M R P, tant que l’allergène est au contact du corps. La progressivité de cet arrêt permet d’évaluer l’importance de l’allergie : plus elle est forte, plus l’arrêt sera abrupt, plus elle est légère plus celui-ci sera progressif.

Lorsque le praticien maîtrise bien le test, il lui est possible de se passer de l’allergène pour interroger le corps du patient. Il lui suffit d’évoquer ou de nommer l’allergène à tester pour que le M.R.P. s’arrête un temps très court :1 à 3 secondes, variable selon l’intensité de l’allergie.
Comme évoqué plus haut, avant d’être Verbe, la pensée est Énergie et permet tout à fait ce genre de « raccourci ».
Le test M.R. P. va également permettre de demander au corps du patient de donner l’autorisation de traiter, de déterminer l’allergie à traiter ce jour-là, les allergènes pouvant être traités en même temps les combinaisons nécessaires à la suite du traitement, etc..

Grâce à l’énergétique chinoise sur laquelle elle s’appuie, la méthode NAET fournit la possibilité de corriger l’information erronée mise en mémoire par le système immunitaire. Selon l’importance de l’allergie, son ancienneté, et la profondeur de son imprégnation, un certain nombre de traitements successifs seront nécessaires pour obtenir une ré information correcte du système immunitaire, mettant ainsi fin aux réactions allergiques intempestives.

Il arrive pourtant, qu’après de nombreux traitements, mettant en jeu toutes les combinaisons nécessaires, associant les émotions rattachées à cette allergie, les symptômes reparaissent. Cela signifie que tout n’a pas encore été fait pour effacer cette information fausse et rétablir le fonctionnement correct de l’immunité.

Il reste une porte à ouvrir pour accéder à la suite de l’histoire. Les recherches menées auprès du corps du patient à l’aide du test montrent dans ces cas un lien, une résonance avec des évènements situés hors du champ de conscience du patient :

__ Évènements survenus chez la maman, durant la vie fœtale et qui ont marqué le fœtus (arrêt de ses mouvements pendant quelques jours) et se sont imprimés dans sa mémoire cellulaire.
__ Évènements profondément traumatisants survenus souvent pendant l’enfance, ayant entraîné un tel refoulement dans l’inconscient, qu’il reste inaccessible, même à un travail psychanalytique sérieux.
__ Informations, modèles comportementaux ou réactionnels, transmis de génération en génération. Ils installent des« formatages » conflictuels à l’origine de mal-être, de troubles divers, et souvent profonds, incluant bien sur des allergies rebelles et parfois incompréhensibles.

Leur localisation dans l’inconscient rend par définition leur accès difficile sinon impossible. Ce genre d’émotion n’est pas utilisable dans un traitement classique : comme elle n’est pas consciente, elle ne peut être mentalisée, donc associée au protocole NAET émotionnel.

Cette nouvelle porte devrait nous permettre avec le patient, d’accéder à la partie de son histoire enfouie dans ses inconscients et de pouvoir intervenir sur les troubles qui en résultent. Michel Larroche grâce à l’Analyse et Réinformation Cellulaire, nous offre un puissant moyen de franchir cette porte et d’explorer ce qu’elle tenait scellé. Cette méthode nous donne la possibilité de localiser de dévoiler et de traiter les nœuds d’énergie verrouillés par les évènements trop mal vécus dans notre vie, dans le ventre de maman ou par nos ancêtres qui nous les ont légués.
Ces nœuds d’énergie provoquent des perturbations, des "fuites" qui peuvent, à l’aide des différents filtres mis au point par Michel Larroche à partir des travaux du Dr Nogier être repérées, décryptées puis verbalisées et traitées à l’aide des vibrations d’un diapason dont la note est déterminée par les caractéristiques de la perturbation repérée ce jour et ses correspondances symboliques.

L’ANALYSE se fait à l’aide des différents filtres indiqués par la zone réflexe de l’oreille et précisés par les réactions au pouls. L’interprétation de chaque filtre trouvé, la verbalisation de ce que le corps du patient nous dit à travers lui, permet à ce dernier une prise de conscience et un travail personnel qui vient sous tendre puissamment la suite des opérations.

La RÉINFORMATION ou réharmonisation cellulaire s’opère à l’aide du diapason et des différentes harmoniques qu’il génère lorsqu’il vibre. Ces harmoniques sélectionnées par les filtres choisis à cette séance, vont agir directement sur les structures concernées chez ce patient et les réinstaller dans une relation paisible, ramenant ainsi la paix intérieure et la joie de vivre, en libérant son potentiel créatif.